Qui bien aime tard oublie.
Un sentiment vif et sincère laisse dans le cœur qui l’éprouve un souvenir qui dure longtemps. Ce proverbe usité en langue romane, qui ben ama tari oblida, est passé dans plusieurs autres langues, et, ce flui est assez curieux, il a été employé en vieux français par Chaucer, poête anglais du quatorzième siècle, dans son poëme intitulé : The Assemble of foule (st. 97).
Hom ki bien aime tart ublie.