Louange engendre amour.
Proverbe littéralement traduit du roman, luuzor engenr’umor, dont le troubadour Amanieu des Escas s’est servi, et dont Colardeau a donné une variante dans ce joli vers :
On flatte l’amour-propre, on fait naître l’amour.
Dans le Midi, pour exprimer la même idée, cette comparaison proverbiale : Les femmes se laissent prendre à la louange comme les alouettes au miroir.