L’absence est l’ennemie de l’amour.
« L’absence, dit un écrivain anglais, tue l’amant ou l’amour. »
Il s’agit ici de l’absence prolongée et non de l’absence passagère, car celle-ci agit sur l’amour à l’inverse de Un peu d’absence fait grand bien. La longue absence l’éteint et la courte absence le rallume. Il en est de l’absence comme de la diète, qui est nuisible ou salutaire au malade, selon qu’il y a excès ou mesure dans sa durée.