La femme et la poule se perdent pour trop courir.

La femme et la poule se perdent pour trop courir.

« Tout le malheur des hommes, a dit Pascal répété par madame de Sévigné, vient d’une seule « chose, qui est de ne pas savoir demeurer en repos dans une chambre. Elles s’exposent à rencontrer fréquemment des séducteurs qui les perdent, comme les poules des renards qui les croquent. Ce proverbe, commun à presque tous les peuples modernes, est fondé sur une observation qui remonte à la plus haute antiquité où l’on avait pour maxime que la femme doit être sédentaire, ce qu’on exprimait encore sous forme symbolique

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