La bonne femme n’est jamais oisive.
Si elle l’était, elle ne serait pas la bonne femme, c’est-à-dire celle qui se dévoue à la pratique de tous ses devoirs avec lesquels l’oisiveté mère des vices est incompatible ; car, suivant une maxime de Pythagore « le phénix est une femme oisive et sage à la fois. »
Notre proverbe est l’expression d’une pensée qui domine dans le portrait que Salomon a tracé de la femme forte ou vertueuse.