Grâce à Camden de Claude Guerre

Amis, un tourbillon lent m’habite

Un roulement de tambour silencieux

A présent, le chagrin conduit ma main

En moi des sanglots blancs roucoulent, en moi

La souffrance brûle la joie d’amour

Je m’entends parfois : il ne dit rien, il

S’essaye à vivre, s’essaye à vivre

Il pleure, l’homme, l’amour le damne.

Extrait de Grâce à Camden, Inédit

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